Tuesday, May 2, 2017

Californie (6) : San Bernardino


San Bernardino



Les collines commencent à ressembler à celles de Los Angeles.



C'est ce lieu que vous voyez dans toutes les courses-poursuites autour de LA 
(regardez donc par ici : https://www.youtube.com/watch?v=kPC_evpbwDM)



Ah, ah ! Que la sérénité de la montagne ne vous abuse pas !



Les poteaux, jusqu'au sommet des collines, 
apportent le courant qui viendra éclairer les lettres de Hollywood à la nuit tombée.



Un peu de plus, et on se croirait dans un été des Alpes autrichiennes.



Mais San Bernardino vous détrompe.



Le style faussement ancien annonce l'esprit parfois décor de cinéma de LA.



Ces gens ne sont-ils pas déçus de ne pas habiter à LA même ? 
Car quitte à habiter en Californie du Sud...



On dirait presque qu'ils ont eu eux aussi, 
comme l'Algarve ou l'Andalousie, leur conquête arabe.



L'Amérique monumentale recommence.



Voilà à quoi ressemblent les villes californiennes.



C'est vrai que sans les palmiers, ça pourrait presque ressembler à Oklahoma city.



Les terrasses entre les immeubles.



La vigie naturelle des palmiers, qui ne chôme jamais sur l'océan infini de la ville.



Le cow-boy de Hollywood remplace peu à peu celui du Texas, 
un peu plus rond au niveau du ventre.



Quelqu'un a-t-il revendiqué le titre d'oeuvre d'art 
pour ces faux panneaux au-dessus des bassins ?



Les piscines de Berverly Hills sont plus confortables, croyez-moi.



Les fresques nous laissent toujours l'occasion de réviser un peu notre route 66.



Avec quelques plaques commémoratives, cette fois.



Carroll Shelloy, nous pensons à toi.



Hall of fame, comme c'est américain 
(on trouve la même chose dans les supermarchés pour le employee of the month)



Impossible de faire un commentaire plus étrange que cette sculpture.



Stop ! stop ! à chacun sa piscine !



San Bernardino



Les fresques rappellent aux habitants qu'ils habitent sur la route 66



Levez un peu la tête.



Ou baissez-la.



Au feu vert, je lâche l'appareil photo et je démarre.



Au revoir, San Bernardino.



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