Sous les sapins, la ville.
Souvenirs du vieux Santa Fe.
Woulou woulou.
Par où l'on entre dans Williams.
Williams, sous la montagne d'où nous venons.
Truck de bûcheron, sans doute.
Toujours ces rues si droites.
Soyez vétérans, vous aurez des réductions dans les gift shops.
Les bannières de peinture de Williams.
Les cocardes comme dans les images de Lucky Luke.
Williams.
Stars and stripes and fresh eggs.
Corner store à Williams.
Gerbes de fleurs et panneaux de la 66,
tout est prêt pour accueillir les touristes européens.
Le sens du paradoxe américain.
Voitures 66isées, c'est très Williams.
N'essayez pas de prendre de l'essence, c'est maintenant un musée.
Fresques murales.
Royal American Inn - moi qui croyais que les Etats-Unis avaient pris leur indépendance sur les souverains britanniques (c'est du moins ce qu'on raconte sur la côte Est).
Voilà ce que cela fait d'habiter un village sous les montagnes.
Vous non plus vous ne voyez pas le rapport entre l'ange/infirmière et le diesel ?
Il y aurait encore des trains en Amérique ?
Trading posts, vous êtes partout.
La fameuse tyrolienne de Cadillacs.
Quand les nuages se lèvent sur Williams.
Là, quand je vois cette photo, j'ai envie de passer mon permis moto.
Au cas où l'on oublierait que c'est l'Amérique.
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