Quelques photos prises depuis l'avion. Ici : Los Angeles vu du ciel, ses montagnes, puis les premières étendues de désert.
Vue sur Los Angeles. L'interdiction des appareils électroniques pendant la première partie du décollage ne permet pas de prendre les premières images, près de l'océan, qui en vaudraient pourtant le coup.
Los Angeles. L'avion se dirige lentement vers l'Est.
Un stade, de base-ball ? Il se trouve plus loin, plus à l'Est que celui d'Echo Park.
Le freeway qui glisse au fond des vallées. Vous me pardonnerez les reflets sur le hublot que je n'ai pas pu ouvrir.
Les montagnes qui séparent Los Angeles du désert, à l'Est.
Les montagnes font peu à peu place à quelque chose comme du sable, à quelque chose comme des canyons.
Et les montagnes finissent par s'effacer devant l'immensité du désert.
Nous y voilà : avec quelques champs, tout de même !
C'est le désert, mais on trouve encore des bâtiments. Peut-on appeler cela une ville ?
Sapristi, on dirait fichtrement le Pakistan.
Le désert s'est saisi de notre horizon d'Est.
Toujours ces mystérieux bâtiments dans le désert, mais toujours la Californie.
Et, quelquefois, des rivières font verdir quelques lignes dans l'étendue jaune, ocre, pâle; elles accueillent le repos de ceux qui persistent à traverser son sable brûlant et ses végétations sèches où se lovent les serpents.
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